Qu’on parle bien ou mal du fameux cardinal1 ,
Ma prose ni mes vers n’en diront jamais rien ;
Il m’a trop fait de bien pour en dire du mal,
Il m’a trop fait de mal pour en dire du bien.
Nouveau Siècle, t.I, p.10 - Arsenal 3128, f°255v - BHVP, MS 551, p.14
Ci-gît 0003