Taisez-vous, Boileau, le critique !
Taisez-vous, Boileau, le critique !
Taisez-vous, Boileau, le critique !
Taisez-vous, Boileau, le critique !
On fait pour votre hiver grand amas de fagots.
Craignez que l’on ne vous applique
Cent coups de bâton sur le dos.
Fuyez, fuyez ce bois, même dans la froidure,
Toute l’Académie en corps vous en conjure !
Barbier-Vernillat, III, 179
La Phèdre de Racine parut pour la première fois le 1er janvier 1677. Elle fut critiquée par des personnes de distinction. Entre autres la duchesse de Bouillon et le duc de Nevers. Boileau avai fait une réponse piquante à cette critique, ce qui donna occasion à la menace dont il est question dans ce couplet (M.).