Certain rimeur qui jamais ne repose,
Me dit hier arrogamment
Qu’il n’écrivait jamais en prose.
Lisez ses vers : vous verrez comme il ment.
Certain rimeur qui jamais ne repose,
Me dit hier arrogamment
Qu’il n’écrivait jamais en prose.
Lisez ses vers : vous verrez comme il ment.
Numéro *0689
Année Inconnue
Description
Quatrain
Références
Choix d'épigrammes, p. 32
Mots Clefs Satire d'un mauvais poète et prétentieux