Sur une dame quiétiste
Sur une dame quiétiste
Sur une dame quiétiste
La Chamilly est si touchée
Des grands plaisirs du Paradis,
Qu’après sa prière achevée,
Elle a dit à son favori :
– Pour mon corps, je vous l’abandonne,
Mon âme étant mon seul souci,
Et lorsqu’à Dieu son âme on donne,
On peut donner le reste à son ami. »
Barbier-Vernillat, III, 30